• Chers frères et sœurs,

    La date du 11 mai était attendue par beaucoup d’entre nous pour enfin entrer dans une phase de « déconfinement ». Nous l’avons bien compris, tout est relatif ! Nous pourrons en effet sortir de chez nous sans déclaration à remplir. Nous pourrons, dans la limite de notre budget, courir à nouveau les magasins mais pas encore aller au spectacle ou au restaurant. Il y a donc toute une liste de choses possibles et d’autres interdites jusqu’au 2 juin.

    En ce qui concerne notre vie d’Eglise, qu’est-ce qui change à partir du 11 mai ? Pour résumer, pas grand-chose, mais pas rien non plus ! Nous ne pouvons pas encore nous réunir le dimanche pour les messes, jusqu’à la Pentecôte comprise. En effet, même si le Premier Ministre a laissé entendre qu’il pourrait avancer de quelques jours la date de reprise des cultes, à la demande des évêques de France, pour autant cette date serait confirmée à la dernière minute et les célébrations seraient possibles dans des conditions draconiennes. En revanche, les prêtres peuvent proposer des messes, en semaine comme le dimanche, dans la limite de dix personnes, et dans des lieux privés (dont font partie les presbytères), en respectant les gestes barrières et d’autres consignes que je leur donnerai. Il en est de même des autres célébrations religieuses. Seules les funérailles pourront de nouveau être célébrées à l’église, dans la limite de vingt personnes et en respectant les règles de sécurité sanitaire.

    Ce qui est possible, désormais, c’est de se réunir à quelques-uns, dans nos maisons et appartements, pour prier, méditer l’Evangile, nous rencontrer dans l’amour du Christ. Et nous pouvons inviter des voisins à ces rencontres. C’est le principe même des petites fraternités que nous commençons déjà à constituer au sein de nos paroisses, et qui sont de vrais lieux d’Eglise. Dès le 11 mai, profitons-en, et commençons à faire revivre notre Eglise à partir de ces petits groupes. A cela je joins bien évidemment nos mouvements traditionnels, dont les équipes peuvent de nouveau se réunir dans la limite de 10 personnes.

    Par prudence, je demande encore un peu de patience aux groupes de catéchisme et d’aumônerie de collège et de lycée. Sans doute y aura-t-il des rencontres possibles, à petite échelle, au mois de juin, et cela me paraît souhaitable pour finir l’année scolaire. Les services diocésains (catéchèse, pastorale des jeunes) ont fait des propositions pour approfondir sa foi personnellement ou en famille, je les remercie. Quant aux célébrations de première communion ou de profession de foi, elles sont évidemment reportées, et les nouvelles dates seront choisies au niveau de chaque paroisse.

    Malheureusement, le pèlerinage diocésain à Lourdes prévu au mois d’août est supprimé, de même que la semaine d’Ecole de prière Jeunes.

    Au niveau diocésain, vous avez pu suivre, si vous avez une connexion internet, les célébrations de la Semaine Sainte et les messes dominicales diffusées en direct depuis la Maison du diocèse. Ces diffusions seront assurées jusqu’à la Pentecôte. Une paroisse assure également la diffusion de la messe en direct : bravo !

    Tous les jours à 15 heures, est assurée à la Maison du diocèse une heure d’adoration eucharistique. Je porte devant le Seigneur, avec les personnes présentes et tous ceux qui s’associent d’une manière ou d’une autre à cette prière, notre diocèse et notre monde touchés par la pandémie. Il se prépare à Nevers une adoration eucharistique sinon perpétuelle, du moins tout au long de la journée, de 8 heures à 22 heures. Le confinement a empêché le démarrage de cette adoration, mais il manque aussi quelques personnes s’engageant à venir prier régulièrement. Si Dieu le veut, elle commencera le 15 juin, pour la fête du Saint-Sacrement. Si des personnes souhaitent participer, vous pouvez prendre contact avec Françoise Letiers (06 47 84 85 92) ou Caterina Zuccaro (06 26 14 47 07).

    Des célébrations diocésaines n’ont pas pu avoir lieu, à commencer par la Messe chrismale. Elle sera célébrée le 27 juin à 10 heures à la cathédrale, mais sans doute avec seulement les prêtres, les diacres et des délégués des paroisses.

    Les confirmations d’adultes qui devaient être célébrées à la Pentecôte sont repoussées au samedi 31 octobre à 10 heures à la cathédrale. Je souhaite en faire l’occasion d’un grand et joyeux rassemblement diocésain. Retenez la date !

    Une quinzaine d’adultes devaient être baptisés à la veillée pascale. L’attente se poursuit aussi pour eux. Je leur dis ici toute mon amitié. Avec leurs accompagnateurs et le curé de leur paroisse, ils trouveront une nouvelle date, même si l’on n’est plus dans le temps pascal. Mais rappelons-nous que chaque dimanche nous fêtons Pâques, c’est-à-dire la Résurrection du Seigneur. Ils seront confirmés le 31 octobre.

    Je termine par une courte réflexion.

    Nous amorçons une phase de « déconfinement », mais ce n’est pas encore le bout du tunnel, et de nombreuses personnes verront leur situation durablement détériorée. Dans le monde, bien des pays sont dans une situation dramatique. Malgré tout de belles choses se vivent, de belles initiatives ont été prises à l’occasion de cette crise, et cela nous a fait entrevoir la possibilité d’un monde plus simple, de relations plus vraies, où l’essentiel est mis en valeur. Certains disent : « Rien ne sera plus comme avant ». Mais nous savons bien que l’être humain retrouve vite ses vieux réflexes s’il ne se convertit pas en profondeur. Le Carême et le Temps pascal nous ont invités à mourir avec Jésus pour revivre (autrement) avec lui. Il y a des morts (consenties ou non) dans ce que le virus nous impose. Et il y a l’appel à une vie nouvelle, à une société nouvelle, à une humanité nouvelle. Cette humanité nouvelle, seul Jésus la réalise vraiment, mais nous avons sans cesse à la désirer et à nous laisser transformer dans l’Esprit Saint. Nous avons, dans l’Esprit Saint, à y travailler, de telle sorte que notre société ne revienne pas au « monde d’avant », fait d’un désir insatiable d’avoir qui masque l’appel infini à être ; un monde qui est fait des revendications sans fin du moi, au détriment de la relation avec les autres, avec notre environnement et avec Dieu.

    C’est pourquoi je vous invite, pendant ce temps de confinement, à repérer ce qui a changé dans vos habitudes, en bien ou en mal, et à regarder, seul, en famille ou avec un petit groupe, ce que vous souhaitez changer durablement. Ce peut être un bon prolongement du temps pascal. Le 24 mai, nous célébrerons les cinq ans de la publication de l’encyclique Laudato Si’ du pape François. C’est l’occasion de la relire. Pour ceux qui veulent aller plus loin, est proposée une démarche intitulée « Où atterrir après la pandémie », proposée par le pôle Ecologie et Société de la Conférence des évêques de France, animé par Elena Lasida et Mgr Jean-Pierre Vuillemin. Vous en trouverez des éléments sur le site diocésain dans l’article Semaine Laudato Si’.

    Chers frères et sœurs, je vous adresse tous mes encouragements dans cette étape encore difficile de notre vie sociale et ecclésiale. Nous allons bientôt fêter l’Ascension et la Pentecôte. Ces deux fêtes nous parlent de déconfinement radical : celui du Ciel où désormais Jésus rejoint le Père, pour nous y préparer notre place, et celui de notre terre, où l’Esprit Saint fait éclater tous les confinements inutiles dans lesquels nous nous mettons, pour nous ouvrir à la dimension infinie de l’amour de Dieu.

    En ce mois de mai, mois de Marie, le pape François nous propose deux prières que l’on peut trouver également sur notre site internet diocésain. Prions-la avec confiance.

    Que Dieu bénisse chacun d’entre vous et tout notre diocèse.

    A Nevers, le 8 mai 2020

    + Thierry Brac de la Perrière, évêque de Neve

    A propos de l'auteur    C. Geoffroy
    Déléguée diocésaine à la communication 

     


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  • Message de Pâques 2020 

    11/04/2020|C. Geoffroy|A la une (actualités), Messages de notre évêque 

     

    L’épidémie du Covid-19, qui a commencé loin de nous, atteint aujourd’hui chacun de nous : qui de nous n’a pas un malade dans sa famille ou ses connaissances ? Qui n’a pas été touché par un deuil ? Qui n’a pas plus ou moins peur de ce fléau ? Notre société tout entière est concernée, l’économie est malmenée, des emplois sont menacés. C’est un bouleversement pour chacun, dans sa vie personnelle, familiale, professionnelle, sociale. Et comme toujours, ce sont les plus faibles, les plus pauvres qui sont les plus malmenés : les malades ou les personnes âgées qui n’ont plus de visites, les personnes et les familles enfermées dans un petit logement, et ceux qui qui n’ont pas de logement du tout. Et la « fracture numérique » apparaît en plein jour pour ceux qui n’ont pas les moyens de travailler et de communiquer à distance.

    En ce jour de Pâques, je veux dire à tous ma proximité dans cette épreuve. Mais je veux dire aussi mon espérance. Car, au moment où nous déplorons tant de morts, les chrétiens célèbrent le jour où un homme est sorti de la mort. En cette crise où nous devons abandonner une certaine manière de vivre, Pâques nous annonce une autre vie. Une vie sans la mort. Une vie sans confinement. Une vie au grand air, celui de Dieu. Une vie sans le mal. Une vie dans l’amour. Et l’homme est fait pour cette vie-là, il est à l’étroit non seulement entre les quatre murs de son logement, mais surtout entre les quatre murs de son cœur. Or cette crise du coronavirus a montré chez certains de belles ressources de générosité. Le manque a fait naître de la solidarité. Dans cette crise, on a vu qu’un autre monde était possible. Alors Jésus dit au monde entier, en sortant du tombeau : voici que la mort est vaincue, voici que l’amour est vainqueur. Si le virus est encore là, si la mort est encore là, croyez que la vie est plus forte, que l’amour est plus fort. Que votre vie soit amour, et le monde revivra.

    + Thierry Brac de la Perrière, évêque de Nevers

    A propos de l'auteur
    C. Geoffroy
     Déléguée diocésaine à la communication

     


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  •  Editorial : Pâques au désert

     01/04/2020|C. Geoffroy|A la une (actualités), Éditoriaux de notre évêque

     

    Le temps du Carême est un temps de dépouillement, un temps de désert, pour marcher à la suite de Jésus et le suivre jusqu’à la croix. C’est un temps de renouvellement intérieur, de conversion, pour célébrer la résurrection du Seigneur en ayant nous-mêmes retrouvé la grâce et la vigueur de notre baptême. Avec la situation de confinement dans laquelle nous sommes désormais, pour une durée indéterminée, ce temps de désert prend une dimension particulière. Il nous revient de vivre ces événements dans la foi, l’espérance et l’amour.

    Dans l’amour tout d’abord, en tournant notre cœur vers ceux qui, proches ou lointains, subissent les conséquences de cette pandémie. Dans cette situation, qui manifeste que nous sommes tous vulnérables d’une manière ou d’une autre, les cœurs peuvent être plus enclins à s’ouvrir et à s’attacher à l’essentiel. Nous restons physiquement à distance les uns des autres, mais sans doute cela nous rapproche-t-il autrement. Des témoignages vont dans ce sens.

    Dans la foi et l’espérance : cette pandémie mondiale, comme tout événement heureux ou malheureux, est une occasion d’enraciner plus profondément notre vie dans le Seigneur. L’apôtre Paul nous l’enseigne : « La détresse, nous le savons, produit la persévérance ; la persévérance produit la vertu éprouvée : la vertu éprouvée produit l’espérance ; et l’espérance ne déçoit pas, puisque l’amour de Dieu a été répandu dans nos cœurs par l’Esprit Saint qui nous a été donné » (Romains 5, 3-5). Le dépouillement imposé, l’arrêt de nos principales activités, l’inquiétude aussi qui peut nous gagner, tout cela est à remettre au Seigneur. Nous qui avons peut-être l’habitude de compter sur nous-mêmes ou de tout prévoir, cela peut nous déstabiliser. C’est très bien ! Car le Seigneur nous appelle à compter sur lui, pas sur nous. Sur sa grâce, non sur nos propres forces. Saint Paul en a fait l’expérience. « Ma grâce te suffit, ma puissance donne sa mesure dans la faiblesse », lui dit Jésus dans un moment de découragement (2 Cor 12,9).

    Nous arrivons à Pâques, alors même que nous restons dans le désert. Mais la résurrection de Jésus ne vient pas comme prolongement d’un chemin de bonheur, elle ne vient pas comme le couronnement de nos efforts, elle ne vient pas comme la négation de la souffrance, de la mort, du péché, du mal et du malheur. Elle vient comme l’irruption de la vie dans la mort, l’irruption de la grâce de Dieu dans le péché de l’homme, l’irruption de l’éternité dans le temps de l’homme. Voilà notre foi, voilà notre espérance : au milieu des épidémies de coronavirus, de méchanceté, de violence, de lâcheté, de mensonge, de vanité, d’orgueil, de péché sous toutes ses formes ; alors même que la croix est présente pour chacun de nous, quoiqu’à des degrés différents, le Christ ressuscité a déjà manifesté sa victoire et demande désormais que nous lui fassions confiance en tout. « Courage, c’est moi, n’ayez pas peur », dit-il à ses disciples. Tu es, Seigneur, au commencement et à la fin de l’Histoire humaine, au commencement et à la fin de chacune de nos existences. Que chaque jour nous tourne vers toi, que chaque instant se remplisse de ton Esprit, que nos joies et nos souffrances soient habitées de ta lumière et de ton amour.

     

    + Thierry Brac de la Perrière
    Evêque de Nevers

     

    A propos de l'auteur    C. Geoffroy
    Déléguée diocésaine à la communication 

     

     

     


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  •  Vivre sa foi en temps de confinement ? 

     20/03/2020|C. Geoffroy                

    L’épidémie du Covid-19 nous oblige à bousculer nos habitudes…
    Il nous faut vivre notre foi chrétienne à la maison, parfois en famille, parfois seul,… sans rejoindre physiquement une communauté.
    Pourtant, il est important de nous occuper de notre santé spirituelle, d’entretenir notre relation au Seigneur, surtout dans ce temps de carême !
    Nous pouvons nous joindre spirituellement à l’invitation de Mgr Brac de la Perrière de rejoindre sa démarche d’adoration tous les jours entre 15 et 16h “J’invite donc tous ceux qui le peuvent à s’unir de cœur à cette heure sainte (15 à 16h), par un temps de prière silencieuse, de rosaire ou de lecture spirituelle.” 

     

    • Beaucoup d’entre vous sont abonnés à Prions en Église ou à Magnificat et sont habitués à lire les textes bibliques proposés par la liturgie.
    • Le livret de carême du diocèse : on y trouve pour chaque semaine, une méditation de l’évangile du dimanche, un texte du Pape François, une prière.
    • La radio RCF peut être écoutée sur différentes fréquences ( Nevers 89.2, Cosne 103.8, Château-Chinon 96.8, Clamecy 89.0). On peut aussi la retrouver en la cherchant sur internet
      Plus d’émission locale, le programme est 100 % national.
      La prière continue sur nos ondes :
      • culte protestant le samedi à 18h15 avec le pasteur Nicole Fabre, pasteur de l’EPUF.
      • messe le dimanche à 18h15 avec Mgr Gobilliard, évêque auxilliaire de Lyon.
      • A compter de lundi 23 mars, chaque jour messe en direct à 11h.
      • Pendant tout le temps de confinement de 20h30 à 21h : Prière par les frères de TAIZÉ. Vous  pouvez adresser vos intentions de prières dont certaines pourront être lues à l’antenne. Toutes seront portées dans la prière par les frères de Taizé.   Rendez-vous sur : rcf.fr/intentions 
      • Chapelet retransmis tous les jours  à 15h30 de Lourdes
      • Les temps de prière matin, le psaume du jour, inchangésEnfin, dès le jeudi à 22h, vous pouvez entendre l’Évangile du dimanche commenté dans l’émission “ENFIN UNE BONNE NOUVELLE.”
    •  L’Espace Bernadette
      À partir de l’Évangile du jour, la communauté des Soeurs de la Charité de Nevers vous propose, chaque jour, un temps de méditation, une fleur à cueillir en lien avec Bernadette et une activité. Vous pouvez déjà rejoindre cette communauté de prière sur le site
      Hozana.org ( Communauté : L’Évangile avec Ste Bernadette). Chaque soir, vous pourrez également vous joindre à elles par la prière à 18h30. Elles prieront aux intentions que vous leur enverrez à l’adresse suivante : bureau.bernadette@espace-bernadette.com 
    •  
    • Le Jour du Seigneur
      Sur France 2, à 10h30 un magazine, à 11h retransmission de la messe.
      Sur le site internet
      Le Jour du Seigneur, de nombreux documentaires
    • KTO diffuse en direct trois messes quotidiennes :
      Ø  à 7h, à la chapelle Sainte-Marthe à Rome en partenariat avec Vatican media ;
      Ø  à 10h, à la grotte de Lourdes (à l’exception du mercredi où l’Audience papale est maintenue);
      Ø  à 18h15, à Saint-Germain-l’Auxerrois.
      Ces messes seront également diffusées le dimanche à 7h, 10h et 18h30.   Les rendez-vous de prière habituels demeurent, même à huis clos, grâce à la mobilisation des chapelains de Lourdes et de ceux de Notre-Dame de Paris à Saint-Germain-l’Auxerrois ainsi que des Fraternités Monastiques de Jérusalem : 
      – les offices des Laudes et du Milieu du jour à Saint Gervais ;
      – les Vêpres à Saint-Germain-l’Auxerrois ;
      – le chapelet de Lourdes est également maintenu. Vous pouvez donc suivre en direct la grande neuvaine à l’Immaculée conception.

    • Communauté de L’Emmanuel
      Messe quotidienne en direct à 12h.00 par la Communauté de l’Emmanuel :
      https://play.emmanuel.info/chaine/live-messe-en-direct/ 
    • Pour trouver des activités à faire en famille 

     

     Pour les adultes, il existe plusieurs retraites en ligne répertoriées sur le site eglise.catholique.fr : Vivre le Carême sur Internet

     

    L’application et le site Prie en chemin proposent une courte méditation à partir d’un texte de la messe du jour : prieenchemin.org. 

     

    Au quotidien, quelques ressources : le site de l’Association épiscopale liturgique pour les pays francophones, AELF avec les lectures du jours, prières des heures, la Bible en entier, tout ça gratuit et sans inscription : www.aelf.org. 

     

    Vous connaissez le site des dominicains de Lille, Théobule où sont disponibles d’excellentes ressources catéchétiques dont celle pour le Carême : Carême et Semaine sainte

     

    Sur le site Catéchèse par la Parole du Service d’Initiation Chrétienne du diocèse Montpellier, vous trouverez des éléments accessibles pour accompagner les dimanches de carême pour parents et enfants : Catéchèse par la Parole

     

    En famille, les jardins de Pâques pourront être bâtis pour accompagner le cheminement jusqu’à Pâques. Le diocèse de Paris en propose un exemple

     

    A propos de l'auteur    C. Geoffroy
    Déléguée diocésaine à la communication 

     

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