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Par Aumônecaté le 9 Mars 2015 à 09:40
Les gens sont déraisonnables,
illogiques et égocentriques
Aimez-les tout de même !Si vous faites le bien
les gens vous prêtent des motifs
égoïstes et calculateurs
illogiques et égocentriques,
Faites le bien tout de même !Si vous réussissez,
vous gagnerez de faux amis
et de vrais ennemis
Réussissez tout de même !Le bien que vous faites
sera oublié demain,
Faites le Bien tout de même !L'honnêteté et la franchise
vous rendent vulnérables
Soyez honnêtes et francs tout de même !Ce que vous avez mis
des années à construire
peut-être détruit du jour au lendemain
Construisez tout de même !Les pauvres ont vraiment
besoin de secours,
mais certains peuvent vous attaquer
si on les aide
Aidez-les tout de même !Si vous donnez au monde
le meilleur de vous-même,
vous risquez d'y laisser des plumes...
Donnez ce que vous avez de mieux Tout de même !
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Par Aumônecaté le 27 Février 2015 à 17:13
Je t'appelle à me suivre
Je t'appelle à me vivre
Tu me cherches dans ta vie
Mais c'est moi qui te choisisJ'ai besoin de toi
Pour toucher le cœur des hommes
Il me faut ta voix
Pour annoncer ma ParoleJ'ai besoin de toi
Pour semer dans la lumière
Il me faut tes bras
Pour ensemencer la terreJ'ai besoin de toi
Pour chanter Bonne Nouvelle
Il me faut ton cœur
Pour que l'Amour étincelle.auteur Mannick
compositeur Jo AkepsimasTexte pris sur le site : Idées caté
4 commentaires -
Par Aumônecaté le 22 Janvier 2015 à 18:41
Ce texte a été lu et un partage des réflexions sur celui-ci avec toutes les personnes présentes, Père Sylva s'était joins à nous ainsi que Père de Bruchard, sœurs Marie France et Bernadette
Noël , la promesse d'un possible
Noël, ça revient chaque année, comme ça
Deux mois avant, on ne parle que de ça.
C’est l’effervescence, ça va dans tous les sens
Supermarché, hypermarché ...
Il faut penser aux cadeaux, des beaux !
Il faut penser au repas
Que serait Noël sans un repas de gala !
Et puis, même s’il n’y a plus rien dans le porte-monnaie
Il faut bien un sapin !
Tant pis, demain on mangera plus de pain.
Noël, ça revient chaque année, comme ça.
Parfois même, ça me met en colère
Tant d’étalage, tant de gaspillage, devant tant de gens en galère !Mais quand le soir tombe
Et que les rues de la ville s’illuminent
Il y a un je ne sais quoi qui m’anime.
Je repense à cette lointaine nuit
Où une étoile a brillé
Bien plus que toutes les autres
Elle a scintillé si fort
Que les bergers, ces gens de peu, ont été intrigués.
Ils se sont laissés guider
Ils ont poussé la porte d’une étable
Ils ont découvert, ahuris, un tout petit
Couché dans une mangeoire
Choyé par ses parents
Malgré leur dénuement.
Ce tout petit, si vulnérable, on nous dit que c’est Jésus
Le fils de Dieu !
L’amour de Dieu pour les Hommes serait-il si grand
Qu’il se révèle à nous dans la fragilité de cet enfant ?
C’est incroyable ! C’est impossible !
Et pourtant…Et pourtant, Noël, c’est la promesse d’un possible.
Une folle espérance pour un monde plus juste
Un monde où les richesses seraient partagées
Où l’on ne souffrirait plus ni de la faim, ni de la guerre
Ni de l’indifférence, ni de la solitude.
Un monde où chaque enfant, jeune et adulte
Aurait droit à la parole et au respect.
Mais cette promesse, elle ne peut advenir rien qu’en claquant des doigts
Pour se réaliser, elle a besoin de nous, de toi, de moi.
Noël, ce n’est pas de la magie
Ou alors, c’est la magie de l’Amour infini.Je me prends parfois à rêver à cet enfant
Né il y a plus de 2000 ans.
Et je lui dis « Reviens, reviens aujourd’hui ! »
Mais alors, où faudrait-il chercher l’étoile pour Le trouver ?
Dans un camp de Roms délabré ?
Dans la banlieue d’une grande ville oubliée ?
Dans un camp de réfugiés surpeuplé ?
Sur un bateau d’immigrés africains ?
Dans un pays en guerre, rongé par la peur et la faim ?
Près de ces salariés en grève inquiets pour leur avenir ?
Près de tous les travailleurs malmené
Soumis au diktat de la finance
Pris pour des pions que l’on balance ?
À nouveau en Palestine où Il est né ?
Parce que là-bas, y’ en a des murs à faire tomber !
Mais finalement, si on regarde bien
L’étoile de Noël, elle scintille
Chaque fois que des gestes de solidarité se tissent
Entre amis, avec les collègues, en famille.
Chaque fois que tu frappes à la porte de cette vieille dame, seule
Et que tu fais entrer le soleil dans sa demeure.
Chaque fois que des enfants, ensemble, décident de mener une action
Pour moins de pollution.
Chaque fois que des jeunes prennent en charge leur avenir
Et se mettent à plusieurs pour tenir.
Chaque fois qu’on invente des lieux de parole
Où les plus démunis osent exprimer le poids d’une vie bousculée
Pour repartir chez eux apaisés.
Chaque fois que sont menées des actions
Citoyennes, politiques ou syndicales
Pour moins de précarité et plus de justice sociale.
Chaque fois que la guerre fait place à la paix
Et que la haine fait place à l’Amour.NOËL, C’EST CHAQUE JOUR LA PROMESSE D’UN POSSIBLE.
Message proposé par la Mission ouvrière
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Par Aumônecaté le 24 Octobre 2014 à 11:53
Voici l'évangile selon saint Luc que nous a confié le diacre Joël Caniou
Un grand merci à lui
Les pèlerins d'Emmaüs Luc 24. 13-53
14) Et voici que, ce même jour, deux d'entre eux faisaient route vers un village du nom d'Emmaüs, distant de Jérusalem de soixante stades, et ils conversaient entre eux de tout ce qui était arrivé. Et il advint, comme ils conversaient et discutaient ensemble, que Jésus en personne s'approcha, et il faisait route avec eux : mais leurs yeux étaient empêchés de le reconnaître. Il leur dit " Quels sont donc ces propos que vous échangez en marchant ? " Et ils s'arrêtèrent, le visage sombre.
Prenant la parole, l'un d'eux nommé Cléophas, lui dit : Tu es bien le seul Habitant de Jérusalem à ignorer ce qui y est arrivé ces jours-ci ! " "Quoi donc ? " leur dit-il. Ils lui dirent : " Ce qui concerne Jésus le Nazarénien, qui s'est montré un prophète puissant en œuvres et en paroles devant Dieu et devant tout le peuple. comment nos grands prêtres et nos chefs l'ont livré pour être crucifié28) Quand ils furent près du village où ils se rendaient il fit semblant d'aller plus loin. Mais ils le pressèrent en disant : Reste avec nous, car le soir tombe et le jour déjà touche à son terme. " Il entra donc pour rester avec eux.
Et il advint, comme il était à table avec eux, qu'il prit le pain, dit la bénédiction, puis le rompit et le leur donna. Leurs yeux s'ouvrirent et ils le reconnurent... mais il avait disparu devant eux.
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