• Les gens sont déraisonnables,
    illogiques et égocentriques
          Aimez-les tout de même !

    Si vous faites le bien
    les gens vous prêtent des motifs
    égoïstes et calculateurs
    illogiques et égocentriques,
          Faites le bien tout de même !

    Si vous réussissez,
    vous gagnerez de faux amis
    et de vrais ennemis
          Réussissez tout de même !

    Le bien que vous faites
    sera oublié demain,
          Faites le Bien tout de même !

    L'honnêteté et la franchise
    vous rendent vulnérables
         Soyez honnêtes et francs tout de même !

    Ce que vous avez mis
    des années à construire
    peut-être détruit du jour au lendemain
        Construisez tout de même !

    Les pauvres ont vraiment
    besoin de secours,
    mais certains peuvent vous attaquer
    si on les aide
        Aidez-les tout de même !

    Si vous donnez au monde
    le meilleur de vous-même,
    vous risquez d'y laisser des plumes...
      Donnez ce que vous avez de mieux Tout de même !


    votre commentaire
  • Je t'appelle à me suivre
    Je t'appelle à me vivre
    Tu me cherches dans ta vie
    Mais c'est moi qui te choisis

    J'ai besoin de toi
    Pour toucher le cœur des hommes
    Il me faut ta voix
    Pour annoncer ma Parole

    J'ai besoin de toi
    Pour semer dans la lumière
    Il me faut tes bras
    Pour ensemencer la terre

    J'ai besoin de toi
    Pour chanter Bonne Nouvelle
    Il me faut ton cœur
    Pour que l'Amour étincelle.

     auteur Mannick
    compositeur Jo Akepsimas

    Texte pris sur le site : Idées caté

     


    4 commentaires
  •  Ce texte a été lu et un partage des réflexions sur celui-ci avec toutes les personnes présentes, Père Sylva s'était joins à nous ainsi que Père de Bruchard, sœurs Marie France et Bernadette

    Noël , la promesse d'un possible

    Noël, ça revient chaque année, comme ça
    Deux mois avant, on ne parle que de ça.
    C’est l’effervescence, ça va dans tous les sens
    Supermarché, hypermarché ...
    Il faut penser aux cadeaux, des beaux !
    Il faut penser au repas
    Que serait Noël sans un repas de gala !
    Et puis, même s’il n’y a plus rien dans le porte-monnaie
    Il faut bien un sapin !
    Tant pis, demain on mangera plus de pain.
    Noël, ça revient chaque année, comme ça.
    Parfois même, ça me met en colère
    Tant d’étalage, tant de gaspillage, devant tant de gens en galère !

    Mais quand le soir tombe
    Et que les rues de la ville s’illuminent
    Il y a un je ne sais quoi qui m’anime.
    Je repense à cette lointaine nuit
    Où une étoile a brillé
    Bien plus que toutes les autres
    Elle a scintillé si fort
    Que les bergers, ces gens de peu, ont été intrigués.
    Ils se sont laissés guider
    Ils ont poussé la porte d’une étable
    Ils ont découvert, ahuris, un tout petit
    Couché dans une mangeoire
    Choyé par ses parents
    Malgré leur dénuement.
    Ce tout petit, si vulnérable, on nous dit que c’est Jésus
    Le fils de Dieu !
    L’amour de Dieu pour les Hommes serait-il si grand
    Qu’il se révèle à nous dans la fragilité de cet enfant ?
    C’est incroyable ! C’est impossible !
    Et pourtant…

    Et pourtant, Noël, c’est la promesse d’un possible.
    Une folle espérance pour un monde plus juste
    Un monde où les richesses seraient partagées
    Où l’on ne souffrirait plus ni de la faim, ni de la guerre
    Ni de l’indifférence, ni de la solitude.
    Un monde où chaque enfant, jeune et adulte
    Aurait droit à la parole et au respect.
    Mais cette promesse, elle ne peut advenir rien qu’en claquant des doigts
    Pour se réaliser, elle a besoin de nous, de toi, de moi.
    Noël, ce n’est pas de la magie
    Ou alors, c’est la magie de l’Amour infini.

    Je me prends parfois à rêver à cet enfant
    Né il y a plus de 2000 ans.
    Et je lui dis « Reviens, reviens aujourd’hui ! »
    Mais alors, où faudrait-il chercher l’étoile pour Le trouver ?
    Dans un camp de Roms délabré ?
    Dans la banlieue d’une grande ville oubliée ?
    Dans un camp de réfugiés surpeuplé ?
    Sur un bateau d’immigrés africains ?
    Dans un pays en guerre, rongé par la peur et la faim ?
    Près de ces salariés en grève inquiets pour leur avenir ?
    Près de tous les travailleurs malmené
    Soumis au diktat de la finance
    Pris pour des pions que l’on balance ?
    À nouveau en Palestine où Il est né ?
    Parce que là-bas, y’ en a des murs à faire tomber !


    Mais finalement, si on regarde bien
    L’étoile de Noël, elle scintille
    Chaque fois que des gestes de solidarité se tissent
    Entre amis, avec les collègues, en famille.
    Chaque fois que tu frappes à la porte de cette vieille dame, seule
    Et que tu fais entrer le soleil dans sa demeure.
    Chaque fois que des enfants, ensemble, décident de mener une action
    Pour moins de pollution.
    Chaque fois que des jeunes prennent en charge leur avenir
    Et se mettent à plusieurs pour tenir.
    Chaque fois qu’on invente des lieux de parole
    Où les plus démunis osent exprimer le poids d’une vie bousculée
    Pour repartir chez eux apaisés.
    Chaque fois que sont menées des actions
    Citoyennes, politiques ou syndicales
    Pour moins de précarité et plus de justice sociale.
    Chaque fois que la guerre fait place à la paix
    Et que la haine fait place à l’Amour.

    NOËL, C’EST CHAQUE JOUR LA PROMESSE D’UN POSSIBLE.

    Message proposé par la Mission ouvrière

     


    votre commentaire
  • Voici l'évangile selon saint Luc que nous a confié le diacre Joël Caniou

    Un grand merci à lui

    Les pèlerins d'Emmaüs  Luc 24. 13-53

    14)   Et voici que, ce même jour, deux d'entre eux faisaient route vers un village du nom d'Emmaüs, distant de Jérusalem de soixante stades, et ils conversaient entre eux de tout ce qui était arrivé. Et il advint, comme ils conversaient et discutaient ensemble, que Jésus en personne s'approcha, et il faisait route avec eux : mais leurs yeux étaient empêchés de le reconnaître. Il leur dit " Quels sont donc ces propos que vous échangez en marchant ? " Et ils s'arrêtèrent, le visage sombre.
    Prenant la parole, l'un d'eux nommé Cléophas, lui dit : Tu es bien le seul Habitant de Jérusalem à ignorer ce qui y est arrivé ces jours-ci ! "    "Quoi donc ? " leur dit-il. Ils lui dirent : " Ce qui concerne Jésus le Nazarénien, qui  s'est montré un prophète puissant en œuvres et en paroles devant Dieu et devant tout le peuple. comment nos grands prêtres et nos chefs l'ont livré pour être  crucifié

    28)   Quand ils furent près du village où ils se rendaient il fit semblant d'aller plus loin. Mais ils le pressèrent en disant : Reste avec nous, car le soir tombe et le jour déjà touche à son terme. " Il entra donc pour rester avec eux.
    Et il advint, comme il était à table avec eux, qu'il prit le pain, dit la bénédiction, puis  le rompit et le leur donna. Leurs yeux s'ouvrirent et ils le reconnurent... mais il avait disparu devant eux.

     


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique