Mgr Thierry Brac de la perrière. Je suis en communion avec vous. Je suis très convaincu que votre ressourcement portera beaucoup de fruits pour vous et pour votre diocèse. Au plus profond de votre coeur germe une espérance pour l'avenir du diocèse de la Nièvre. Même si vous ne le voyez pas tout suite. Ce n'est pas grave. Le plus important, c'est d'y croire. Celui qui croit sans avoir vu, il transportera des montagnes. A très bientôt Sylvie Rouzeau

Cher frère et soeur du diocèse. Je vais vous raconter une histoire vraie qui s'est passé du temps de Padre Pio. Une femme qui vivait dans un péché mortel. Elle n'arrêtait pas de recreminer,de mentir, de médire, de dire du mal sur les autres, de critiquer. Elle va se confesser auprès de Padre Pio. Padre Pio refuse de la confesser. Il lui claque la porte du confessionnal et il tire le rideau. Elle ne comprenait pas pourquoi il refusait de la confesser. Sa durée plusieurs jours. Un jour Padre Pio en a eu marre d'elle. Il lui dit changer de vie. Elle ne s'est pas attendu. Sa elle lui a fait un miroir. Elle revoyait toute sa conscience. Et elle revoyait son péché mortel. Elle l'a éclaté en sanglots, et elle a pris peur. Cette fois ci, elle a confessé son péché sincèrement et il lui a donné l'absolution. Le lendemain, cette femme revient pour remercier Padre Pio de lui avoir ouvert les yeux sur son péché mortel qui l'aveuglait et qui la conduisait à la mort. Et elle a changé vraiment de vie en arrêtant de critiquer, de faire dire du mal, de mentir et de faire des médisances sur les autres tout en portant des jugements. C'est bien un péché mortel, et en plus qui est puni sévèrement par la loi. Je vous souhaite une bonne méditation à travers d'une histoire vraie qui date. Mais malheureusement c'est encore d'actualité. Avec toute mon amitié fraternelle Sylvie Rouzeau

Bonjour à tous. Je m'adresse à tout le diocèse de la Nièvre. Pourquoi faite vous des médisances, et que vous portez des jugements, et des fausses accusations sur certaines personnes ? Cela me fait mal au cœur. C'est comme si entre nous on se jette des pierres les uns sur les autres. Le Pape François met en garde contre les personnes qui medisent, qui portent des jugements et des fausses accusations. C'est un péché mortel. Le Pape François nous invite à nous tourner vers Marie qui écrase la tête du serpent. De médire, de juger, d'injurer, de reprimender, de calomnier, d'accuser, détruisent la foi, la vérité, la paix, l'unité et l'âme. Pourquoi regardes tu le brin de paille qui est dans l'œil de ton frère. Alors que toi tu as une poutre dans ton œil. Comment peux tu porter des médisances et des jugements sur ton frère ? Or que toi c'est pire. D'abord enlève ta poutre qui est dans ton œil. Au lieu de salir ton frère. Je vais dire comme ste Bernadette." Je suis chargée de vous le dire, mais pas vous le faire croire." Si vous continuez dans cette direction votre âme est perdu. Avec toute mon amitié fraternelle Sylvie Rouzeau

Bonjour à tous, je m'adresse à vous tous pour un message important. Je suis une des victimes dans l'Église. J'ai envoyé un courrier à une journaliste du Figaro de Lyon. Je vais vous révéler une vérité qui n'apparaît pas publiquement à la une du Figaro de Lyon par rapport à l'affaire Barbarin. Certaines victimes de Lyon n'ont pas dénoncé leurs propres familles qui ont dissimulé les actes criminels commis par un prêtre. Pourquoi les journalistes du Figaro de Lyon n'en parle pas. Pourquoi l'Église devrait être à la une des journaux, mais non les familles qui sont autant complices et coupables d'avoir nier les actes criminels sur leurs propres enfants pour protéger le prêtre de ses abus. Donc l'Église a le droit de porter plainte envers certaines victimes de Lyon pour non dénonciation de leurs familles. Il plus facile de faire un scandale à l'Église que de dénoncer les familles qui sont dans le déni et complices des actes criminels du prêtre. Donc les journalistes du Figaro ne peuvent plus diffuser l'affaire Barbarin. Puisque certaines victimes de Lyon n'ont pas dénoncé leurs familles. De protéger leurs familles, c'est très suspect. Avec toute mon amitié fraternelle Sylvie Rouzeau